Honteux, carrément honteux ce soi disant hôpital où l’on vous drogue pour avoir la paix. Les cages d’isolement, on vous lange et on vous sangle sur un lit des pieds à la tête. Obligée de prendre vos médicaments même si vous ne savez pas ce que c’est sinon on vous pique ou on vous met au trou pendant au moins 24h ou plus s’il le faut. Les toilettes sont dégoûtante, on ne sait ou mettre les pieds, il y a de la pisse par terre partout et les w.c. sont plein de mère. La douche et les robinets plein de calcaire et jamais nettoyés, il y en a qui ont attrapés un virus. Mais le pire, l’assistante sociale ne vous aide pas, la psychologue ne sait pas ce qu’est le métier de psychologue et surtout, AUCUNE écoute de la part du personnel infirmier, pas le temps, ce qui voulait dire JAMAIS. Mais aller sur les ordinateurs et rire à 12 personnes dans le bureau, ça oui ! Pas de règlement, aucune discipline, le personnel infirmier laisse tout faire. La nourriture, on n’en parle pas, de la merde pour cochons et parfois même, de la charcuterie complètement périmée. Faites attention vous tous qui lisez ceci, moi, j’y suis allée de mon plein gré, on m’a pris et on m’1 colloque pendant 40 jours, sans raison, je ne ferai pas de mal à une mouche. Le juge, le psychiatre, l’avocat commis d’office sont tous de mèche, ils ne forment qu’un et si le psy décide de vous garder 10 ans en maintien, ça veut dire que pendant 10 ans, il a le droit de vous recolloquer pour rien. Après mon hospitalisation, j’ai été suivie par un soi disant neurologue pendant 10 mois, il n’a fait que de se foudre de moi, me rabaisser, m’humilier. Je suis diabétique, mais pas de régime, tout le monde mange la même bouffe. J’étais fière quand j’y suis rentrée, j’avais perdu 50kgs alors que j’en pesais 100. Ils m’ont donné un médicament qui m’a fait grossir et m’ont caché une autre maladie, J’ai pris 33kgs. Je suis la risée de tout le monde. Je suis malheureuse, je ne sais plus porter mes vêtements. Je n’osé plus sortir de chez moi, je reste enfermée toute la journée pour pas que l’on me voit, je suis gênée. Mais mes douleurs physiques, mes problèmes psychologiques, on s’en fout, médicaments, toujours médicaments. Je me tuerai s’ils continuent de la sorte. N’allez jamais dans cet hôpital de merde ou il y a eu des viols, on ne surveille rien la nuit, j’y ai été terrorisée par un noir, un pervers sexuel qui voulait coucher avec toutes les femmes, la nuit, je laissai la lumière tellement j’avais peur. Mais le personnel s’en foutait. Je ne citerai aucun nom de psychiatre ou de neurologue car je suis une personne bien mais sensible, je suis humaine moi, j’ai un cœur et ce cœur est en souffrance maintenant. Je resterai sans doute marquée à vie de ce que j’ai vécu là et je suis toujours maintenue par le juge. Dès que je sortirai, si on me laisse sortir, je vais sans doute avoir à faire un long long travail psychologique avec des personnes compétentes et humaines. Heureusement, il existe un autre hôpital psychiatrique, plus loin, certes, mais là, le psy est à votre écoute et ne joue pas avec son ordinateur pendant qu’il fait ça, des psychologues et du personnel infirmier qui vous écoute et là, pas de chambre d’isolement ni de sangles, juste de l’empathie.